C’est couru d’avance. J’ai déjà eu l’occasion d’écrire que l’homme n’est pas un être de Raison, mais de raisons, celles qu’il se trouve pour justifier, à ses yeux, ses défaillances, ses compromissions, ses lâchetés, ses bassesses, ses infamies, ses abjections, lorsque ce n’est pas tout bonnement ses crimes.
Je ne sais pas si les propos qui sont ici prêtés au Pape sont conformes à ses dires et à sa pensée, mais si tel est le cas, il est en train de tourner sergent recruteur pour les barbus d’en face aux inébranlables certitudes. Et on n’avait pas vraiment besoin de ça.