Merci beaucoup Armelle pour cet hommage à un vrai et grand écrivain.
Oui, la séparation avec la Russie a dû être difficile pour lui, ajoutée à ses premières années d’ascète en France.
Pour une fois, je suis reconnaissant aux éternels de l’avoir pris avec eux, dès le premier tour.
Comment en aurait-il pu être autrement ?
L’œuvre d’Andreï fait perdurer la littérature du XIX, tant russe que française...