Le problème n’est pas tant le décrochage des garçons que la baisse du niveau qui semble de plus en plus patente.
Filles comme garçons obtiennent aujourd’hui des diplômes qui paraissent de plus en plus dépréciés et ça risque de ne pas aller en s’améliorant.
Quand aux garçons, en maths pures, en informatique ou à Polytechnique Paris dont le niveau de sélectivité et le prestige vaut bien un master de je ne sais quelle science humaine, ils y sont encore nombreux...