La désindustrialisation et le loupé des virages technologiques ne sont pas le fait des syndicats mais celui des dirigeants d’entreprises qui n’ont de vue qu’a court terme sous la pressions d’ actionnaires apatrides qui n’attendent qu’un rendement confortable et immédiat.
On ne peut pas attendre d’une économie gouvernée par des financiers autre chose.Il est illusoire d’espérer de leur part uns stratégie globale,profitable aux citoyens au pays.
Comme il est malhonnête d’en rendre responsable les politiques qui n’ont absolument aucun pouvoir en ce domaine.
C’est le principe d’une économie dite « de marché ».
Un exemple symptomatique est celui des terres rares.