Le problème, c’est que les « gagne-petit » genre Tavarès justifient toujours leur voracité par le fait que d’autre sont pire qu’eux.
Et c’est ainsi que l’on dérive vers toujours plus d’indécence et, en creux, toujours plus de mépris pour les vrais travailleurs, ceux sans qui ces suceurs de sang ne seraient rien !