Guelleh est un bon collaborateur pour la France.
Alors cette « élection » à Djibouti ne risque pas de susciter chez nos merdias aux ordres le genre de critiques qui accompagnaient par exemple les élections en Iran ou au Vénézuela.
Bachar el Assad a du sang sur les mains, dit l’Occident, alors il doit partir. Guelleh aussi a du sang sur les mains. Mais lui il peut rester...