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En réponse à :


eau-du-robinet eau-du-robinet 21 avril 2016 23:17

Bonjour Marcel Monin,
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Vous avez cité l’article 3 et je souhaite le compléter par l’Article 5 de la Constitution de la Cinquième République française.
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« Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. »
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Ici « l’indépendance nationale » rime avec souveraineté nationale (à ne pas confondre avec le nationalisme) !
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En effet, l’article 5 de la Constitution de 1958 décrit le président comme un arbitre, et non pas comme un chef de gouvernement, rôle qui incombe, selon le texte, au Premier ministre. Certes, le Général de Gaulle, inspirateur de la Constitution, voulait un président fort, capable de faire face à des crises majeures, comme la guerre d’Algérie, et a imposé en 1962 son élection au suffrage universel direct. Mais il précisait également qu’il n’est « pas normal de confondre dans la même personne le président de la République et le Premier ministre », estimant que « la conjoncture, politique, parlementaire, économique […] est le lot aussi méritoire que complexe du Premier ministre ».
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L’indépendance de la justice en question

La Constitution dispose également que le président garantit l’indépendance de l’autorité judiciaire. Pourtant, sous l’ère Sarkozy, cette indépendance a pris du plomb dans l’aile. La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a considéré en 2010 que « les membres du ministère public [procureurs] en France ne remplissent pas l’exigence d’indépendance à l’égard de l’exécutif », notamment parce qu’ils sont sous l’autorité du garde des Sceaux.
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Le président, censé veiller à l’indépendance de l’autorité judiciaire, a donc contribué à amenuiser cette indépendance, provoquant le courroux des magistrats, pourtant peu prompts à manifester. Mais rien de surprenant à cela pour le constitutionnaliste Guy Carcassonne, ancien conseiller de Michel Rocard. « Faire du président de la République le garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire est aussi rassurant que de dire que le renard est garant de l’indépendance du poulailler ! Cela dit, ici, c’est la Constitution elle-même qui est en cause, pas sa violation », analyse-t-il.
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Justement c’est la Constitution elle-même qui est mise en cause et ceci par le transfert du pouvoir politique de la France envers la commission européenne ! C’est un abandon de la souveraineté voire un transfert de souveraineté envers le monde de la finance qui contrôle à travers la commission européenne 28 pays d’un coup !!!
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La démocratie ne peut pas exister sans la souveraineté du peuple !
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Nous vivons actuellement dans un système ploutocratique.
La ploutocratie est un régime politique où les plus riches sont au pouvoir.
La ploutocratie (du grec ploutos : richesse et kratos : pouvoir) consiste en un système de gouvernement où la richesse constitue la base principale du pouvoir !
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Nous devons restaurer la démocratie....
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Sortons de l’UE de l’Euro et de l’OTAN !
http://www.upr.fr
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