@wesson
« Ce que vous et l’auteur labellisez « le clientélisme » est d’abord et surtout une redistribution de la manne pétrolière - lorsqu’il y en avait - au peuple. »
Ça, ça s’appelle de la politique à (très) courte vue, dont les conséquences sont forcément catastrophiques lorsque la manne se tarit. Mais ça ne surprend de la part de pittoresques dirigeants de pays folkloriques.
J’observais le régime vénézuélien depuis des années, en priant ce qui me tient lieu de ciel, pour qu’il ne soit pas renversé par les Yankees avant de s’effondrer tout seul pour un motif que j’attendais avec une réelle curiosité. Désormais, c’est l’inénarrable Evo Moralès qui dans mon collimateur.
Pour en revenir au Venezuela, je me suis laissé dire, de diverses sources, que l’entretien et le renouvellement des installations d’exploitation du pétrole ont été placés sous le même signe d’imprévoyance généralisée, ce qui laisse augurer de graves problèmes supplémentaires, s’ils ne se posent déjà...