Georges Frèche, l’un des derniers grands professionnels socialistes, batisseur de l’agglomération de Montpellier vient d’être désavoué sur l’autel d’une démagogie de pissotière, à l’aune d’un petit minable de « bourde montée » au sommet de l’incompétence arrogante.
L’élégance suprème du banni fut de prier ses nombreux amis de donner leur voix à son exécutrice, l’élue de son parti, traitresse et parjure de l’amitié, des valeurs humaines de base au profit de l’ambition personnelle, de l’illusion du pouvoir.
Respect Georges ! L’histoire te rendra certainement justice, lorsque notre pauvre patrie humiliée reprendra conscience et pourra enfin se redresser.