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JC_Lavau JC_Lavau 28 mai 2016 13:23

La conclusion est que si ça vend des dieux, alors ça passe sur Agoravox, et que si ça ne vend pas de dieux, ça ne passe pas sur Agoravox.

Ni plus ni moins vicié que les autres publications par des théologiens vendeurs de dieux.
Aucune anamnèse des cas. Le lecteur ne saura jamais comment les victimes avaient été dressées à être exploitées. La matière est pourtant riche et instructive, mais ça n’intéresse pas l’auteur.
Ah bien sûr, officiellement « l’homme » est né d’un dieu... Rien ne doit donc être dit de la gestation, ni de tout ce qu’il y a avant et après. Rien de ne doit être dit de la part pathologique chez le parent exploiteur de ses enfants. Pourtant, il était intéressant, le cas de Leopold Mozart.

Il ne faut surtout pas non plus examiner les frontières ni voisins ni antonymes du seul « burn out ». Ce serait un travail d’épidémiologiste et de psychopathologiste, ce que Pascal Ide n’est pas.
Un épidémiologiste se serait quand même intéressé au contage, lui. Ce que fit Semmelweis en 1847-1848, ce qui lui a fait comprendre le mode de contage de la fièvre puerpérale, et les règles de l’asepsie.

Pour des raisons personnelles, j’aurais tendance à m’intéresser aux suicides dirigés par la parentèle, tandis que Pascal Ide ne s’intéresse qu’aux BO qui ont survécu, et seulement s’il trouve l’astuce pour que ça serve à vendre des dieux. C’est sûr que la plupart des boucs émissaires et souffre-douleurs, on les suicide avant qu’ils aient pu parler, ni encore moins écrire et publier.
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Depression_majeure.html

Theodore Lidz a narré la fille qui a été suicidée par sa mère, afin qu’elle soit au moins aussi suicidée que Virginia Woolf, si elle ne pouvait conquérir la même gloire littéraire.
http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=66.0

Toujours dans le but de vendre des dieux, Pascal Ide néglige totalement d’étudier la répartition sexuée des modes de BO. Comme je suis - les militantes féminazies ne me le pardonneront jamais - hétérosexuel, je connais quelques cas de BO féminins. L’ensemble du cortège pathologique et des relations familiales autour méritait bien de l’intérêt, mais ma formation professionnelle d’alors ne permettait pas de pousser bien loin l’investigation qu’il aurait fallu, ni les correctifs dont j’ignorais tout en ce temps là.

Un minimum de discipline d’épidémiologue, SVP !


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