Deleuze, le purinement freudo-marxiste au service du Kapital de la Branlette
Les logorrhées foucaldo-derrido-deuleuziennes de la « French theory » (langue du colonisateur évidement) sont le vomitif de bobo pour évacuer la lutte des classes., et faire de place pour l’auge consumérisme sans décence, par un Grand Lavement des mœurs traditionnels.
Nier l’idéologie. A la place, dégueuler une
bouillie apolitique de dames patronnesses bobo (mâles ou femelles et surtout trans-genre) et tortiller du cul devant les caméras des putes médiatiques du Kapital, position avantageuse du prébendier universitaire mondain du système.
Nier toute différence, parents-adultes ; enfants/éducateurs, apologie des "sexualités
périphériques« ..., (Kohn le tripoté), anti-racisme-ouverture-libérale, démagogie encensant l’oligophrénie adolescente narcissique chère au consumérisme et tellement indispensable au purinement de la Cité, Tolérance-lâcheté pré-taubiradienne pour Kapital-vénération, »il faut vivre avec son époque", la mondialisation
comme phénomène naturel, mondialisme, anté-prédicatif de l’humain, « libéralisme avec compensation »,
judiciarisation des relations sociales, assistanat, biberons aux migrants, têtée rsa, déresponsabilisation, spontanéité si magnifique des
« analphabètes » jaillie des profondeurs de l’inconscient, etc. LA grande branlette des freudo-marxiste PdG du Kapital Un
brouet pour l’auge consumériste qui révèle de mieux en mieux le cloaque fétide qu’est devenue cette nature
humaine déchue de l’ex-Occident, du Supermarché chiure finale de son Histoire.