Martinez a été appelé pour tenter, en désespoir de cause, les derniers gestes de réanimation sur le grand corps malade de la CGT. Il a multiplié en conséquence les vibrantes démonstrations de radicalisme hypertrophié, au risque évidemment de la disqualification définitive - mais avait-il le choix ? Les gestes désespérés sont le plus souvent voués à l’échec. Ceux de Martinez et de ses conseillers ne font manifestement pas exception à la règle. Un Martinez ne peut par définition accomplir ce qu’un Thibault n’a pu réussir. RIP cgt.