Jusqu’à il y a peu,
l’homme voulait « dompter » la Nature.
D’où la
construction de Versailles et de son jardin « à la française »
dans une zone marécageuse, la pire qui soit pour ces travaux.
Puis plus tard, une
agriculture productiviste dont les promoteurs pensaient que la
monoculture à coups d’engrais minéraux, d’arrachage et de
destructions de « nuisibles » resterait sans conséquences
négatives.
Mais
progressivement, en commençant par ses élites, (les vraies pas
celles qui s’autoproclament telles et pensent sottement que la
recherche du profit maximum par une oligarchie est la solution),
l’idée qu’il ne faut pas lui demander plus par an que ce qu’elle
peut renouveler, et que pour cela il faut que la machinerie naturelle
extrêmement complexe puisse s’opérer sans entrave, commence à
s’imposer et notamment, ce qui est nouveau, chez un homme politique
important, Jean-Luc Mélenchon.
Donc, ne désespérons
pas.