Je ne comprends pas
pourquoi Assad n’a pas accepté la construction des deux gazoducs.
Leur concurrence n’aurait pu qu’être bénéfique au peuple syrien.
Les pluies
hivernales sur le plateau du Golan volé à la Syrie par l’état
d’Israël manquent évidemment à la Syrie pour son bilan hydrique.
Mais sans cette eau, aussi importante, sinon plus que le pétrole ou
le gaz, Israël pourrait-il subsister avec des habitants qui
dépensent autant d’eau qu’en pays tempéré, refusant d’admettre
qu’ils vivent en pays aride ?