@Jacobin
Vous en êtes encore à Proudhon : « la propriété c’est le vol ». Les miettes dont vous parlez ne sont pas des restes de quelconque larcins, c’est de la force de travail que le bourgeois doit payer suffisamment pour s’assurer que le prolétaire aura envie de revenir au turbin le lendemain ou le mois suivant. Le prolos ne vole rien, il crée, avec sa force de travail, un produit qui a suffisamment de valeur pour être vendu, avec profit, par le propriétaire du capital à qui il voudra....peu importe la couleur de la peau.