@bourrico 7
« Je traduis ton propos... »
Traduttore, traditore...
Je me mets simplement à la place des familles, gosses compris, qui se réjouissaient depuis des mois, à l’idée de partir, mais aussi à la place de ceux qui prenaient l’avion pour des raisons professionnelles ou des obligations familiales, et je souhaite qu’on trouve le moyen d’envoyer la sadique responsable de leurs emmerdes, récurer les chiottes de l’aéroport de Dzaoudzi-Pamandzi, où les usagers ont pour habitude de ne jamais tirer la chasse d’eau.