Olivier, je suis d’accord avec ce que vous affirmez ici. Mon propos n’était pas de condamner la publicité contextuelle. Je peux même vous suivre quand vous affirmez sur votre blog qu’ainsi la publicité serait moins agressive.
Moins agressive en tout cas que le harcellement téléphonique dont nous sommes victimes ou l’avalanche de publicité qui tombe régulièrement dans nos boites aux lettres. Sans doute.
Je pense simplement que la publicité doit dire son nom, la manipulation est inacceptable et ce même pour des raisons économiques. Le rédacteur doit pouvoir garder le maximum d’objectivité.
Vous affirmez que les journaux traditionnels pratiquent déjà la publicité « rédactionnelle » payante. Je ne le crois pas. Mais comme je le dis plus haut : « Un patron de presse est dépendant de ses annonceurs » et le journaliste est le salarié de ce patron, je crois !