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Axel de Saint Mauxe Axel de Saint Mauxe 1er septembre 2016 18:15

Article qui aurait sans doute fait les grandes heures des années 1970 pendant la campagne de Giscard.


Nous sommes en 2016, et entre temps Marx est mort, et l’on voir Dieu en pleine résurrection là où personne ne l’attendait : chez les prolétaires, désormais « issus de l’immigration » comme on aime à le dire dans les salons mondains.

Bref il n’empêche en ce début de siècle troublé que tout individu a le droit de se forger une opinion même si celle-ci est déviante par rapport à la bonne pensée défendue par l’auteur.

On est en droit de s’interroger sur la banalisation de l’acte d’avorter dans les discours des uns et des autres, qui semble désormais pour beaucoup revenir à soigner un mauvais rhume. Et cela jusqu’au somment du pouvoir (de quoi se plaint l’auteur ?).

Pourtant, interrompre la vie me semble un acte exceptionnellement grave, pour lequel les promoteurs d’un avortement joyeux et décomplexé peinent à apporter des réponses sérieuses.

Qu’on est loin du discours de Simone Veil !

Dès lors que les pro avortement peuvent s’exprimer, au nom de quel totalitarisme vouloir museler ceux qui le dénoncent ?

Cet article démontre que refuser cette banalisation est un acte de désobéissance.

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