Bonjour, zygzornifle
On n’en est pas encore là, loin s’en faut !
Qui plus est, les musulmans, dans leur grande majorité, s’intègrent sans problème, et la proportion de ceux qui se déclarent athées (environ 25 %) ou non-pratiquants (environ 50 %) montre qu’il n’y a pas de problème à craindre de cette majorité qui - certes de manière plus lente - suit la même voie que les catholiques.
Cela dit, je vous concède volontiers qu’il y a bel et bien un problème aigu dans certaines villes, de la part notamment de jeunes plus ou moins manipulés et enclins à se radicaliser, nettement moins par conviction religieuse que par goût pour une aventure fantasmée dans un contexte social de pertes des repères éducatifs.