@philippe baron-abrioux
La méprise vient de ce que vous parliez de médecine scolaire, vous m’en voyez désolé. Avec des jeunes de plus de 16 ans sortis du monde scolaire ...
« j’ai obtenu de la C.PA.M de la Gironde , dès la première quinzaine de l’intégration aux groupes , un bilan de santé complet : ce qui fut repéré par ce bilan obligatoire est assez clair... »
C’est bien ce que vous avez écrit n’est-ce pas ?
et après vous m’écrivez :
« là encore si vous lisez je n’ai jamais écrit que c’était la C.P.A.M de la Gironde qui me les avait communiqués . il se trouve que ce sont les jeunes eux mêmes qui m’en ont parlé . »
Dans le monde de l’école, les enseignants, et encore moins les auxiliaires scolaires, n’ont pas à s’occuper du niveau de santé de leurs élèves, tout en restant ouverts à l’écoute des parents qui signaleraient un handicap, une pathologie particulière, passagères ou non, ... et réciproquement à leur faire part d’anomalies détectées, passagères ou non, dans les aptitudes de leurs enfants. Cela fonctionne très bien sans médecine scolaire, et se gère très bien au cas par cas.
Chacun son métier ...
Vous évoquiez aussi les « trois jours » prévus pour les jeunes appelés, l’école n’est pas la caserne, et si cette visite permettait d’évaluer un niveau d’alphabétisme national pour cette tranche d’âge (l’illettrisme est très rare), la visite médicale était seulement pour détecter des inaptitudes physiques ou mentales avant incorporation.