Visiblement Facebook ne se contente pas de collaborer avec le gouvernement israélien. Dernier exemple en date, ces violences policières en France - proprement hallucinantes pour moi-même qui fait partie de ce que l’on appelle au sens large les « forces de l’ordre » - subies par un professeur de la Sorbonne, et que Facebook a jugé bon, de gré ou de force, de censurer. Si des types comme ça sont actuellement dans la police, ils n’ont non seulement rien à y faire, mais leurs agissements doivent être judiciarisés.