On n’a pas parlé du Gabon.
La-bas, il serait illusoire de croire que le remplacement d’Ali Bongo par Ping changerait quoique ce soit.
Bongo-Ping, c’est comme Ping et Pong : c’est le même jeu françafricain, mais pas seulement, un pillage à l’échelle mondiale, d’un pays extrêmement riche par quelques pourris au pouvoir pour le compte des multinationales.
Ces dirigeants ne risquent pas de subir le même sort que Saddam, Khadafi et Assad : eux, ils obéissent bien sagement.