perso, ma première bouffée de cigarette fut la dernière : un clope laissé distraitement allumé par mon père, s’était dégeu, âcre et puant.
Par contre j’ai pris grand plaisir à un cigare, beaucoup plus tard.
Conclusion : AMHA on ne peut nier que le tabac est un plaisir, même si mettre fin au déplaisir du manque est certainement le moteur principal