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christophe nicolas christophe nicolas 7 octobre 2016 10:33

Je voudrais rajouter que le pouvoir d’influence réel appartient au chef légitime qui a le soucis que son petit « royaume » fonctionne, il n’appartient pas au journaliste. Si le journaliste veut s’accaparer le pouvoir d’influence au nom d’une bonne cause à laquelle il est toujours facile de faire référence mais qui au fond n’est qu’une idole sans réalité personnelle qui vous demandera des comptes un jour, il va à des soucis avec les « nouveaux barbares » que sont ces ex communistes.


Le Christ est une réalité objective, si vous montrez par exemple des groupes spoliés de leurs droits en rappelant que cela ne correspond pas aux actes du Christ, vous n’agissez pas pour votre propre pouvoir d’influence mais celui du Christ or si le chef perçoit que le journaliste est honnête, droit et ne cherche pas à prendre le pouvoir psychologique pour son ego en lui faisant une sorte de coup d’état d’influence, il sera plus attentif car c’est son intérêt de chef que tout se passe bien, sa fortune est acquise, on le sait mais ce n’est pas de l’argent liquide, c’est juste la forme du pouvoir.

Un journaliste peut faire fortune et être craint en balançant de la rumeur à la con, c’est certain, le chef barbare le sait, il n’en à rien à cirer, il fera éventuellement casser la gueule au journaliste tandis qu’il sait très bien qu’il ne peut pas atteindre le Christ ni les apparitions mariales et il n’a aucune assurance avec ses disciples, la martyrologie le montre. Les techniques de Soros qui finance des mouvements d’ouverture n’aboutissent pas à des conversions mais à des révolutions, c’est le système Soros qui crée l’anarchie. Comme quoi les chefs barbares ont intérêt à la conversion et à s’appuyer sur le Christ pour pacifier et faire évoluer leur « petit royaume » vers le bien car il ne faut pas se faire d’illusions, ceux qui financent des révolutions de l’extérieur pilleront l’économie de leur « petit royaume » aussi sec après sa chute puis repartiront faire une curée ailleurs lorsque cela sentira le roussi laissant une situation catastrophique. Le chef barbare, malgré tous ses défauts, a tout de même l’avantage d’être ancré dans son « petit royaume » et de l’aimer à sa façon, c’est un enfant du pays qui ne donne pas sa fidélité à une terre étrangère.

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