Et il y a aussi un passage mémorable d’un des premiers romans de Raymond Queneau, Les derniers jours, où un passant explique au narrateur que le temps est déréglé depuis la guerre de 14...
Mais enfin le réchauffement est bien là, et si cela peut faire prendre conscience à chacun de nous qu’il faut moins gaspiller l’électricité, le gaz, le pétrole, le papier et l’amour (ne l’oublions pas, c’est ce qui se gaspille le plus !), alors c’est tout bénéf !
C’est la démocratie : on ne peut pas obliger à moins consommer, ce serait catastrophique ; mais on peut sensibiliser, inciter, et si les médias s’y mettent pour protéger l’environnement, c’est pas plus mal !