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Laurent CRIADO Laurent CRIADO 26 octobre 2016 16:17

@Arthaud

Bonjour,

L’article que vous mentionnez a effectivement été beaucoup lu et partagé. Numéro 10 au palmarès des articles les plus lus sur Agoravox depuis 1 an et dans le top 500 (sur plus de 106.900 articles) depuis la création du site en mars 2005. Plus de 500 partages Facebook. Cela ne serait pas possible sans vous et tous les lecteurs qui me font confiance. Je les en remercie.

Mes analyses qui recueillent à chaque publication suffrages et partages en nombre semblent légitimer mes propos.

Je ne m’intéresse pas aux personnes qui cherchent la confrontation, le conflit et jouent les victimes lorsque la modération élimine méthodiquement, et en toute cohérence avec la Charte du site, leurs messages orduriers.Toute discussion avec ces fauteurs de trouble est vouée à l’échec. Je le sais, j’ai déjà tenté d’avoir une discussion avec eux dans le passé, cela dérape toujours et je finis par recevoir quantité de critiques infondées quand ce ne sont pas des torrents d’injures et de propos diffamatoires qui agacent tout le monde pour rester poli.

Par rapport à l’inimitié que l’on pourrait me prêter à l’encontre des propriétaires, il n’en est rien. Je n’aime pas les abus chez les propriétaires sans scrupule, comme j’abhorre les abus chez les locataires indélicats. Rien d’autre. J’essaie simplement de remettre l’église au milieu du village. Cette part infime d’abus de quelques uns, dans les deux camps, exacerbe inutilement les tensions. Lorsque la relation opère en bonne intelligence, chacun, propriétaire comme locataire, y trouve son compte. Au-delà de ce positionnement clivant par nature, j’essaie simplement de démontrer la folie qui s’est emparée d’un marché qui, fondamentalement, n’en est pas un puisque se loger décemment relève des droits élémentaires de tout être humain. Lorsque j’emploie l’expression « marché immobilier », je le fais uniquement par commodité rédactionnelle. Qui peut décemment me dire que les dérives de prix propres à l’immobilier n’ont pas un impact économique et social catastrophique notamment, mais pas seulement, sur des pans entiers de l’économie productive (les PME) qui ferment boutique ou luttent pour leur survie parce que leurs clients n’ont plus d’argent une fois acquitté loyer ou crédit titanesque ? Doctrine largement reprise par des économistes et professionnels de l’immobilier qui trouvent peut-être grâce aux yeux de mes détracteurs.

Ce que vous signalez est malheureux. Ce n’est pas parce que nous écrivons des articles (d’ailleurs, chapeau pour votre référencement Google qui récompense les longues heures de travail nécessaires à la rédaction d’un article), qui peuvent ne pas plaire, que nous devons subir les manquements aux règles élémentaires de civilité et de courtoisie.

Merci en tout cas pour vos messages toujours bienveillants.

Bien cordialement,


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