La méthode de calcul des taux de réussite de la méthode Carr est aussi foireuse que les statistiques du Narconon des scientologues. Et pour ce qui est du Champix, vu le mode d’action et la (trop) courte phase de test, il est plus que probable que les effets secondaires lourds à long terme dépassent ceux réunis du thalidomide, du diéthylstilbestrol et de l’écoute prolongée de Johnny Halliday.