@Paul Leleu
C’est un avantage de ne devoir son élection qu’à lui-même et à son propre argent, et non à des fonds qui jusqu’ici n’avaient rien du mécénat, mais tout de l’investissement. Un investissement que tous les présidents, la-bas comme ici, ont toujours du rembourser en nature.
Cet homme avait déjà tout : le summum de la réussite pourrait bien être pour lui de laisser l’image d’un sauveur dans les livres d’histoire.
Laissez lui le bénéfice du doute, au moins pour un moment.