Magnifique hommage à celui qui a réjouit ma jeunesse avec ses inénarrables Rubrique à brac et Gai Luron !
C’était la douce époque où l’on pouvait encore dessiner les choses les plus facétieuses et les plus irrévérencieuses sans déclencher l’ire de fanatiques à qui il manque la plus grande des qualités morales : le sens de l’humour.