Une chose est sûre, s’être d’emblée précipité sur le mot d’ordre « Assad doit partir » et continuer de s’y arc-bouter a été une erreur de la part des occidentaux, et conduit à une impasse. Il y a quelques mois, il avait été question d’une coopération stratégique avec les forces du régime et les Russes, mais rien n’a été fait en ce sens. Désormais les occidentaux n’ont plus de carte en main, la fantomatique « opposition démocratique » n’ayant pas de réalité sur le terrain.