« La « méchanceté » d’un adversaire de la politique américaine est métaphysique et peut servir à justifier presque n’importe quoi. »
Bonjour,
je fait juste remarquer en passant que la campagne Trump Clinton a elle même utilisé cette ficelle, chacun qualifiant l’autre de « mauvais », et se prévalant d’une morale à toute épreuve.
Par ailleurs, les anti sarkozystes, comme les anti chirac en leur temps, ont ici utilisé aussi cet argument (cf les nombreux articles publiés ici par Verdi ou autres Fergus et daubant sur l’absence de moralité de notre ex président).