Selon Le Monde, plusieurs associations, qui gèrent des centres d’hébergement dans les Hauts-de-Seine, ont enregistré une diminution du nombre de logements proposés aux publics qu’elles prennent en charge. « Cette dégringolade est en grande partie liée à la délégation du contingent préfectoral », commente Félix Marchand, directeur de Relogement 92.
« Nos établissements abritent des personnes qui auraient dû se voir attribuer un logement social depuis longtemps, rapporte Jean-Daniel Wendel, délégué départemental de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale. Mais leur demande reste en souffrance, car elles n’ont pas le profil, à l’aune des critères retenus par certains maires. »