@Gilles Mérivac
« Si chacun agit selon sa conscience mais en dehors de la loi, il n’y a plus de démocratie possible, même bancale... »
Pire, il n’y a plus de société, puisqu’il est du droit de chacun de choisir ses totalitarismes et ses lois malveillantes selon ses convictions. Et cela découle de la négation de toute forme de démocratie, puisque ce n’est rien d’autre que le refus, par des minorités vociférantes, de se soumettre au verdict des urnes lorsqu’il leur est défavorable.