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eric 6 janvier 2017 19:02

ev@lermontov
Oui, mais il faut bien voir que les gens qui gèrent toutes ces aides publiques vivent de l’abondance de demandeurs. C’est leur beefsteak qu’ils défendent.A un moment, ceux qui vivent des tziganes roumains et bulgares ont même organisé des missions sur fond public là bas pour voir si il n’y aurait pas des volontaires à recruter...Le français quart monde était devenu une denrée rare. Il y avait des famille suivie par 10, 15, 20 service différents, on se les arrachaient. C’est quand même plus facile de décrocher ses hausses de crédit et de poste quand le nombre de pauvre potentiel augmente.

C’est bon aussi pour les stats qui permettent de négocier les budgets. A 2 ou 300 mille net par an suivant comment ton compte, sur dix ans, de migrants qui ne partent en général pas au plus haut de l’échelle sociale, cela permet de pleurnicher facilement sur le nombre de pauvres ayant des besoins sociaux qui s’accroît quel que soit l’effort consenti. QUi plus est ave cle regroupement famillial, celui qui avait un salaire décent quand sa famille était au pays, « devient » pauvre dès qu’il la fait venir, sans que grand chose ait changé.

Il ne faut pas oublier que toute la gauche sociale, vit du nombre de pauvre...


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