@xana : "Vous ne connaissez pas les Tsiganes mais vous les critiquez. Moi je vis à
proximité, pourtant je les connais mal car les barrières érigées de
part et d’autres sont très difficiles à franchir.«
Mon père était médecin de famille dans un village Hongrois derrière le trou du cul du monde, avec une grande population Tsigane, alors je les connais un peu. Certes, j’étais »de l’autre côté« mais je voyais comme vous les barrières sociales que eux-aussi érigeaient.
Et franchement, cette pleurnicherie éternelle, cette tendance à culpabiliser »les autres« , ça me gonfle. Qu’ils arrêtent de se définir comme »Tzigane" et ça ira tout de suite mieux pour eux. Mais là, franchement, ils portent ça comme un étendard pour justifier leur misère.