Michel Déon était certes un très bon écrivain, mais c’était quand même lui qui, dans Le balcon de Spetsai (1960), regrettait « qu’il n’y ait plus en France un seul écrivain qui eût la voix de Barrès, la puissance de Maurras, la grandeur de Renan, l’enthousiasme de Godineau, l’intelligence de Morand, la grâce de Fraigneau ».
N’y a-t-il pas là de quoi se poser des questions ?