Le baffeur a choisi de ne pas avoir de procès et à utiliser le plaider coupable. Il reconnait la baffe, et écope illico d’une peine.
Balkany, lui, ne reconnait rien bien au contraire, jure devant dieu que tout est une machination et que c’est le plus honnête des hommes.
Bref, on ne peut pas comparer les deux cas pour dire qu’il y a une justice à deux vitesses.