@baldis30
Bonsoir, merci et bravo pour cette citation !
Vous eussiez dû citer les vers qui précèdent cette tirade :
’...Lune aux
trois quarts rongée et qui décroît encore,
Et que d’un
autre peuple effacera l’aurore !
Hélas ! Ton
héritage est en proie aux vendeurs.
Tes rayons,
ils en font des piastres ! Tes splendeurs,
On les
souille ! – ô géant ! Se peut-il que tu dormes ?
– on vend ton sceptre au poids ! "
C’est un peu (beaucoup) ce qu’il se passe en ce moment.
L’ombre de Charles Quint a disparu mais l’idée demeure d’un pays qui se cherche...
Vous évoquez Quatrevingt-Treize. Excellent et terrifiant roman. Souhaitons ne jamais revivre pareille époque !
Cordialement,