Ce qui est utile, c’est le contact de l’élève avec l’enseignant.
Une partie du travail fait en classe pourrait être laissée à des moyens audios-visuels ou informatiques.
L’acquisition de certains automatismes en langue française et en mathématiques n’exige pas le rituel « classe ».
En langues vivantes, le travail en cabine est bien plus profitable que le travail en classe.
Une part des difficultés actuelles des enseignants vient justement de cette inadéquation entre le rituel « classe », quasi-immuable depuis l’Antiquité, et l’état des techniques de communication.