La dernière fois que ce triste sire à émis une opinion sur un candidat à la présidentielle, il a fait élire Hollande.

On pourrait arrêter là le commentaire.

Mais il y a également votre idée de réunir les principales forces de notre pays pour faire face aux difficultés.

Là aussi, nous avons un précédent. Cela se nommait l’ouverture. Et ce n’était pas juste mettre des potiches de gauche dans un gouvernement de droite. La nomination d’un membre de l’opposition à la tête de l’organe de contrôle des dépense de l’État était un fait sans précédent à ma connaissance.

Le problème est que la réforme nécessaire est celle de notre État.

On prétend notre pays conservateur, mais tous les autres secteur connaissent des révolutions tous les 1à ou 20 ans. Regardez l’agriculture ou l’industrie.

Or, nous avons aujourd’hui deux camps. Non pas tellement mondialistes et souverainistes, mais les prébendiers de l’État et leurs clientèles contre le reste de la population. La force des premiers est leur homogénéité. La force des seconds est qu’ils sont la majorité.

L’électorat de Bayrou, partage avec celui du PS le triste privilège d’être ceux qui connaissent le moins de mixité sociale.

Ce n’est pas un hasard si il peuvent se reconnaître facilement dans un candidat qui pense que « les gens de l’ouest sont illettrés », ceux du nord « alcoolique et tabagique », ceux du sud « OAS », et on est pas pressé de savoir de ce qu’il pense des gens de l’Est.

Sarko avait été jusqu’à accepter leur racket. ON ne touche pas aux inutiles de al fonction publique, on se venge sur les jeunes en n’embauchant qu’un sur deux, et on partage les économies avec les fonctionnaires en place... !
Avec en plus la ruse des intermittents et précaire, embauchés pour faire le sale travail à la place des titulaires, mais dans la précarité.

Même cela, ils ont trouvé que c’était un trop grand effort de solidarité, dans un pays ou il y a 11 millions de pauvre, 6 millions de chômeurs, et ou l’essentiel de l’électorat de gauche ne cotise pas pour le chômage parce que, « ils ne sont pas à risque » !

Donc la seule voie de réforme en France, ce sera une majorité de droite massive et indiscutable, reflétant les choix de 6à à 70% de la population, et donc avec un vrai mandat pour mettre en oeuvre la politique voulue par la majorité des citoyens.

L’idéal à mes yeux, Fillon avec un majorité à l’assemblée et une opposition FN forte et dynamique.

SI ce n’est pas cette fois, car la génération Bayrou veut bénéficier de ses retraites privilégiées au détriments des pauvre et des jeunes, ce sera la prochaine.

Du reste, regardez les « ralliements », leurs statuts, leurs âges et leurs ambitions actuelles...