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Christian Labrune Christian Labrune 11 avril 2017 16:12

Je ne vois que Marine,

@Louve de France
Votre Marine et Mélenchon, c’est kif-kif, et c’est des deux côtés la même promesse fascisante. Au reste, l’ancien parti de Mélenchon s’appelait « le front de gauche ». Le monstre totalitaire, le Janus bifrons avait deux fronts identiques, sauf que quand l’un était devant, l’autre était forcément derrière, et réciproquement ; c’était la seule différence,, mais c’était quand même des deux côtés le même fanatisme obtus. Ca faisait vilain, cependant, de partager la moitié du nom de son parti avec un autre parti prétendument opposé, et beaucoup de gens s’en étaient rendu compte. J’avais moi-même souvent développé cette observation sur AgoraVox.

Le parti de Mélenchon est celui de la soumission à l’islam ; il propose exactement la politique décrite par Houellebecq dans son roman « Soumission ». Qu’à cela ne tienne : puisqu’on est soumis, on va appeler le parti « La France insoumise » et les imbéciles n’y verront que du feu !

J’ai très souvent, parce que c’est un sujet que je connais assez bien, montré ce qu’avaient été les liens entre l’Allemagne nazie et le panarabisme. Que fait l’islamiste à la botte des Frères : il dira que Labrune, c’est la « peste brune ». C’est pas moi, c’est toi, disent les gamins sous les préaux de la communale !

Chez le Mussolini des Turcs, il n’y a plus de presse, des dizaines de milliers d’opposants sont en cabane et on souhaiterait pouvoir rétablir la peine de mort pour que l’épuration islamique soit plus rapide et plus efficace. Que fait ce con d’Erdogan ? Il accuse la chancelière allemande et le gouvernement des Pays-Bas d’être « nazis ». Les Européens se disent qu’il n’est probablement pas possible de faire pis dans l’ordre de l’imbécillité profonde, mais dans la Turquie fascisante où les populations sont décérébrées par l’islam des Frères, ça passe comme une lettre à la poste.

Je vous accorde qu’il n’y a pas grand chose à attendre des candidats issus des partis « de gouvernement » ou du « mouvement » immobile de Macron, mais aux extrême, ce sera pire encore, et ce sera vraiment la fin de la République.


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