Mais c’est vrai, j’ai les chocottes de voir débarquer les blindés de l’URSS sur les champs Élysées au petit matin blême du 7 mai. J’ai d’ailleurs prévu de planquer tout mon fric et mon or dans un paradis à l’abri des partageux. . Oh, merde, je me suis trompé d’époque, je me croyais encore en 1981.