@JL
Bah ! L’un des candidats a peut-être décliné l’invitation.
Ce n’est surement pas le cas d’Asselineau.
Par contre, nombreux sont ceux qui se sont défilés devant une confrontation directe avec lui, ce qui aurait été l’occasion d’une franche rigolade.
Des nains contre un géant de la politique.
Décidément, tout est faussé dans cette élection. Ce matin, sur France Inter, pendant deux heures au 7-9, même le nom d’Asselineau n’a pas été prononcé par le satrape Cohen ni aucun de ses diablotins.
Egalité du temps de parole ?
Mon cul.
PS : un satrape, en Perse, est un protecteur du royaume.