Des
causes aux effets, soyons logiques et factuels. Échappons un instant
aux idéologies politiques tarte à la crème empoisonnée et aux
mensonges médiatiques dont on est abreuvés, voire même pilonnés.
La
géopolitique pour théâtre fondamental et sa puissance
incontournable le « pouvoir de l’argent », ce que Marx
nommait le Capital, et Jésus le monde économique de César, c’est
à dire notre destinée terrestre commercialisable.
Considérons
une époque clé, les années 50, l’après guerre et le jeux
politiques des deux super puissances américaine et soviétique qui
se disputaient le monde de l’époque.
Prenons
maintenant un des acteurs principal français. Aujourd’hui érigé
en icône par tous les acteurs politiques de toutes les sensibilités.
Charles De Gaulle.
De
Gaulle fit preuve, pour ses admirateurs éclairés et ses farouches
adversaires, d’une diabolique habileté. C’était un grand
lecteur du « Prince »de Machiavel ». La France dut
abandonner néanmoins l’Algérie, principalement sous la pression
internationale, surtout américaine et soviétique à des niveaux
divers. On ne peut rien contre le capital en marche. A cette époque
nous connûmes tout et son contraire.
Nos
candidats à la présidentielle me semblent courageux, ils ne
méritent pas autant d’opprobre, la politique ne se mesure pas à
l’aune de la morale, mais de l’intelligence, de la stratégie, de
l’expérience et bien d’autres considérations.
Quant à l’accouchement d’une souris pronostiqué plus haut, il sera à la mesure de la maturité politique des français. Pour ma part, j’ai bien connu l’époque gaullienne, n’en déplaise à l’ambiance générale dans ce canard, je voterai pour François Fillon. Je priviligie le courage et les structures solides, ne fréquente pas la chienlit et cultive l’idéal dans le réel.