Au Danemark, les Danois parlent tous anglais couramment, même dans la campagne profonde, et accessoirement aussi le danois. En Lettonie, les Lettons parlent presque tous couramment anglais et russe et presque tous le Letton etc.
Vouloir à tout prix relancer l’étude d’un breton artificiel relève de l’acharnement thérapeutique, toujours, bien sûr, aux frais du contribuable.
J’ai vu aussi que le contribuable finançait maintenant une chaire de « ch’ti mi » dans une université du Nord Pas-de-Calais. Vous avez bien lu : une chaire de « Ch’ti mi ».
Vouloir conserver le français, langue archaïque, dans les instances internationales, relève effectivement du même état d’esprit rétrograde.
Une mauvaise maîtrise de l’anglais va en effet devenir de plus en plus pénalisante même pour des emplois modestes.
vraitravailleur