Malgré l’intélligence de cet article, j’aurais aimé que vous parliez de deux points.
Le premier, second life n’est t’il pas devenu le nouvel eldorado des marchands, qui, conscient de l’aubaine de ce « monde virtuel » qu’ils ont crées en partie, contribuent à le rendre de plus en plus sale, pollué, et conforme à « l’exterieur ».
En second, « second life » n’est t’il pas le refuge d’une partie de la population dites « geek », frustrée à cause des aléas d’une vie qui leur ressemblent de moins en moins, trouvant dans « second life » la possiblité d’être un rocco du virtuel, contrairement à dehors, ou pour, par exemple, trouver une comagne, il faille mouiller la chemise.
Ce sont les filles qui trouvent qu’on les drague de moins en moins.