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En réponse à :

egos 2 mai 2017 14:32

@Vipère


Ce second post répond aux questions soulevées par le premier,
relatives à la datation d’un « paradis perdu » de l’emploi et de l’enrichissement.`

Eden des profiteurs indignes et sans conscience échoué sur les récifs du premier choc pétrolier.

Rappelons que durant cette période faste, tous ne furent pas logés à la même enseigne,
ie les conditions de travail extrêmement rudes ou exposées dans les industries de la mécanique, les travaux publics, la chimie etc.

Dire des générations ayant traversé ces époques qu’elles furent privilégiées tiendrait du conte pour très jeunes enfants 
ou adultes atteints de gâtisme, 
du Lewis Carroll ou Andersen si l’on fait l’impasse de la réalité sanitaire du moment, de l’espérance de vie des travailleurs usés confrontés à l’âge d’accès à la retraite.

Tout au moins peut on concéder au récit épique des ’trentes laborieuses" que ces catégories sociales (défavorisées) ont pu léguer à leur progéniture l’espoir de se soustraire à leur condition sociale et accéder aux strates supérieures *.

Quant aux bénéfices, supposés néfastes, injustifiés durables , l’amalgame ressassé comme un mantra semble faire office de canon incontournable de la nouvelle liturgie libérale.

Parmi les zélotes du juste châtiment social (Atatli, Minc, De Catries,Gattaz, Junker, Hollande, Valls, Mosco, BHL, Niels, Pigasse, Drahi, Bergué, Juppé, Scarface et toute la fillonerie, DCB, Ségo et qqs milliers d’autres) qui mieux que l’expatré fiscal Dany Boon saurait porter, avec la morgue qu’il sied, la bonne parole aux pécheurs prodigues égarés qui menacent le pays.

*Processus que les Macron, Hollande, Sarko, Juppé, Fillon ainsi que leurs cohortes vociférantes s’emploient à enrayer voire interrompre.

Un calcul rapide établit qu’un nanti des années 70 (fin des 30G mid 73 début 74) ayant liquidé sa retraite à 65 aurait aujourd’hui dépassé le siècle d’existence,

quelle perspective enthousiasmante et quel drame pour les comptes de la nation.

Le piège tendu par ces élections parait si large qu’il pourrait passer pour une arène, 

celles ou se tiennent des spectacles de boucherie à ciel ouvert, 
avec ses tortionnaires, ses officiants et un public au sadisme jamais repu.

 





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