@SEPH
Aucune solution en restant dans l’euro. C’est clair. (Mais
cela ne sera non plus pas suffisant si les autres conditions nécessaires ne
sont pas réunies.) Les pays d’Europe de l’UE qui ne sont pas dans l’euro vont bien, prouvant par là que l’indépendance monétaire est déterminante.
La Fed
a augmenté son taux d’un quart de point le taux directeur de refinancement (C’est celui auquel les banques et
institutions financières empruntent auprès de la banque centrale). à 0,50 puis
à nouveau dans la fourchette de 0,75% à 1%. Pour 2018, deux autres
augmentations sont prévues, pour porter les taux à 2,1%. Cela pourrait
correspondre à un début de cycle de hausse afin de rejoindre un taux « normal ».
L’euro suivra dans quelques années perpétrant ainsi
le cycle infernal : ce qui conduira à alourdir le paiement des intérêts de
la dette pendant que le déficit, qui de ce fait ne pourra s’arrêter, continuera
inévitablement augmentant la dette elle-même.
Joli système qui saigne les états et personne pour l’arrêter !
Tant que le fond du tréfonds ne sera pas atteint, tout
continuera donc comme par le passé.
Va falloir serrer les fesses.