@Pascal L (et @rosemar)
Une fois de plus, Pascal I. vous re-situez la dominante approche des
religions à sa place réelle : le refus de distinguer entre elles ce qui conduit
au pire et ce qui conduit au meilleur, et qui par suite les distingue entre
elles. Dominante qu’exprime bien - involontairtement semble-t-il - la chanson
de Souchon comme la présentation de rosemar, et de laquelle les philosophes contemporains - je parle ici des
philosophes très médiatisés que j’estime, comme Onfray, Finkielkraut, Debray,
Gauchet... - refusent de sortir, confortant ainsi la lâcheté - ou/et
l’obscurantisme athée - des hommes au pouvoir en France et un peu partout en
Occident., qui sacralisent la laïcité dans sa définition de 1905 pour n’avoir
pas à la réformer radicalement comme il le faudrait, puisque non seulement elle n’est pas une gêne pour les conquérants de
l’islam mais puisqu’elle est devenue une aide efficace dans leur entreprise.
Une fois de plus, Pascal, vous refusez vous-même d’aller à
l’essentirel et votre (juste) distinction vous empêche d’aborder ce qui reste à
détruire dans les meilleures (ou, si l’on préfère, les moins mauvaises) religions.
Vous alimentez ainsi, indirectement, la réaction qui ouvre stupidement ces
commentaires : « marre des religions ! »
Encore un effort Pascal, il faut détruire ce qui reste de criminogène dans le christianisme. Qui
reste et qui est même re-justifié et
re-vivifié par les théologiens fous du présent catholique :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/detruire-la-tricherie-exegetique-187081