Malgré les pluies récentes, cette après-midi, mes bambous criaient déjà la soif, et les tomates aussi avaient déjà tout bu. Cela donne une idée des temps d’absence que je peux m’accorder quand le temps est anticyclonique, sec et chaud. Ah certes, si le taux de dioxyde de carbone atmosphérique triplait, je pourrais m’absenter trois fois plus longtemps, mais je ne verrai pas ça de mon vivant.
Quoi ? La réalité n’est pas conforme aux superstitions de la secte carbocentristre !
Scandale ! Qu’on guillotine la réalité !